Dans l'élan de notre victoire contre les Lettons, nos allons nous attaquer ce soir au pays des plus grand brasseurs : Malte
Grâce à nos espions les mieux renseignés, nous savons qu'un bon Malte nécessite :
- de pénétrer à travers la barrière hémicellulosique et ainsi de pouvoir accéder à ses réserves d'amidon ;
- de transformer l'amidon notamment en glucose, glucide métabolisable par les levures (produisant ainsi de l'alcool et du CO2).
Dès lors, pour nous, rien de plus simple :
- Cavalier / Langevin : Assignés au trempage, et même s'ils ne disposeront pas des 48 heures recommandées, il devront humidifier l'adversaire (voire même lui mettre la tête sous l'eau) à hauteur de 42-45 %
- Mazy / Houel : Ils devront surveiller la bonne germination de l'adversaire, s'assurer de l'apparition de l'amylase, et surtout, bloquer leurs vis-à-vis du soir.
- Bernard / Bourrin / Matéo : Bourrin sur le banc, parce que sinon, on sait tous qu'il va faire ses 6 fautes rapidement pour aller se siffler des pintes !
- Wagner / Rouquette : C'est ici qu'on va faire monter la température, assécher l'adversaire, ça va tourailler sec, c'est moi qui vous le dit !
- Bellay / Rollin : C'est là qu'on va s'occuper des dernières radicelles. Tu ne sait pas ce qu'est une radicelle ? Moi non plus, mais pour sûr, il ne leur en restera pas !
Et pendant que ces gars-là feront le sale boulot en LI et 3-2, moi, j'irai profiter du résultat... ha ben non, apparemment, il y a encore je ne sais combien d'étapes jusqu'à avoir une vraie boisson Maltais !
Allez les bleus !